Savoir prendre des risques en 3 leçons

Savoir prendre des risques

Il est clair que ceux qui osent auront plus de chance de réussir, mais c’est bien évidemment plus facile à dire qu’à faire et il n’est pas si aisé de sauter le pas.

 

Peur de l’échec, de la perte de repères, de la perte de ce qu’on a, de l’inconnu, de ne pas être à la hauteur… le risque suscite des réactions instinctives de protection qui sont totalement légitimes. D’une part, parce que l’être humain est programmé non pas pour être heureux mais pour survivre. D’autre part, parce qu’on nous a toujours appris à avancer prudemment dans la vie, sur un chemin balisé et sûr.  

 

Mais la société évolue et encourage de plus en plus la prise de risque, en acceptant des modèles différents et en valorisant l’émancipation des individus par rapport au schéma classique. L’entrepreneuriat est plébiscité, de même que l’expatriation ou encore les reconversions. Le nouveau leitmotiv ? S’écouter pour s’épanouir. En résumé : oser, réussir et être heureux différemment.

 

Alors comment évaluer et apprécier la valeur et l’impact du risque sur nos vies pour oser s’y confronter ? Comment apprivoiser ce risque et ce qu’il suscite en nous pour enfin, nous aussi, sauter le pas ? Voici 3 astuces pour aller plus loin !

"Seuls ceux qui prennent le risque d'échouer spectaculairement réussiront brillamment » a dit un jour Robert Kennedy, homme politique américain.

Prendre des risques calculés
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Il y a une différence entre sauter dans le vide avec et sans parachute. Comme il y a une différence entre prendre un risque sur un coup de tête et avoir préparé un plan d’action pour le calculer et surtout le maîtriser. Calculer son risque, c’est en sécuriser les potentiels échecs : quitter son emploi pour changer de voie en ayant négocié une rupture conventionnelle assurant un certain nombre de mois de chômage. Partir à l’étranger après avoir mis de l’argent de côté et pris des contacts sur place pour trouver un logement et du travail. Créer son entreprise en ayant déjà réalisé un business plan et trouvé des soutiens financiers tout en ayant déjà un plan tête en cas d’échec.

 

Il s’agit en fait de passer d'un risque que nous ne sommes pas prêts à prendre à un risque comportant un élément de contrôle et de résultats attendus. C'est ce qu'est un risque calculé. Et c’est un effort à faire car sinon, on ne le prend jamais.

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Apprivoiser la peur de l’échec
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Concernant l’échec, il y a un réel effort à faire vis-à-vis des alertes envoyées par notre cerveau. D’une part, intégrer que l’échec n’existe en vérité que dans la projection mentale que nous faisons des évènements futurs. Et ensuite, comprendre que la notion d’échec est totalement relative. Prenons un cas très simple : un enfant prend le risque de grimper à un arbre, et fini par tomber. Il se fait mal. L’issue n’est pas positive : c’est un échec. Mais il aura appris une leçon qui lui servira par la suite. Maintenant, appliquons ce principe à la création d’une entreprise. Si l’entreprise se révèle être un échec au bout de quelques mois, effectivement ce n’est pas l’issue que vous auriez préalablement souhaitée. Mais vous aurez acquis une expérience incomparable, élargi votre réseau professionnel, vous vous connaîtrez mieux, serez monté en compétence et aurez certainement provoqué tout un tas d’opportunités pour la suite.

 

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Changer votre mode de pensées
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Savoir prendre des risques, c’est changer notre manière de les envisager.

Et pour cela, il existe une méthode, appelée « RRIS » : 

 

R – Faites des recherches : consolidez votre projet en vous informant suffisamment. Sachez pour autant vous arrêter à un moment donné pour passer à l’action car il facile de repousser l’échéance, et de toutes façons on n’est jamais prêt à 100%.

 

R - Rationalisez votre réalité : nous nous rassurons inconsciemment avec nos propres vérités. Prenez du recul par rapport à ce que vous croyez être vrai : n’êtes-vous pas juste en train de résister au changement et rester dans votre zone de confort ? La zone de confort est très confortable jusqu’au moment où elle devient un frein à votre épanouissement. Alors envisagez ce qui vous dérange de façon rationnelle et évaluez-le sans distorsion.  

 

I – Rendez vos idées positives : à la base de la notion de risque, il y a une idée : quelque chose qui s’est manifesté en vous. Cette idée est excitante et a la capacité de changer votre vie. Maintenant, demandez-vous quelles pensées surgissent quand vous évoquez cette idée dans votre tête : sont-elles positives ou négatives ? Si elles sont négatives, il vous faut changer de « mindset », c’est-à-dire d’état d’esprit : dépassez les pensées illogiques de type « ça ne marchera jamais » ou « j’en suis incapable » et demandez-vous réellement ce qui vous arrête. Basculez du côté de la pensée positive… qui attire le positif !

 

S – Le succès avant la peur : en évaluant positivement vos idées, vous envisagerez le succès avant l’échec. Cela n’enlèvera pas les émotions, les blocages et les inquiétudes liées à l’insécurité que provoque nécessairement un changement : vous ne pourrez jamais complètement combler le fossé entre la peur et la réussite. Mais vous pourrez vous obliger à l’envisager différemment, positivement, et donc manifester ce succès dans tout ce que vous entreprendrez. Vous verrez que cela change tout : on n’a jamais vu quelqu’un réussir sans y croire.

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Le plus important est que vous soyez conscient de votre valeur, de vos compétences pour enfin vous faire confiance. Mais aussi qu’aucun succès n’a connu aucune embûche, aucun blocage, aucune erreur. Que l’on n’est jamais prêt à 100% pour le changement. Et que dans l’échec réside des potentialités énormes.

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